Airs de Quinault, liste par incipit
Pour faciliter les recherches, j’ai modernisé l’orthographe de ces incipits.
Admirons le jus de la treille (Psyché)
Ah ! pour te plaire, / Trop volage Bergère
Ah ! qu’en aimant / À de maux on s’expose (Ballet des Muses)
Ah ! que vous êtes heureux / Petits oiseaux amoureux
Ah ! qu’il est doux de se rendre / A l’empire de l’Amour !
Aimez cherchez à plaire / Vous ne sauriez mieux faire (Le Carnaval)
Amour, détache ton bandeau (Les Coups de l'Amour et de la Fortune)
Amour trop indiscret, devoir trop rigoureux (Ballet des Muses ; voir "Trop indiscret amour")
Après mille rigueurs vous partez donc Climène
Bacchus veut qu’on boive à longs traits (Psyché)
Beaucoup d'amants ("Dieux des Enfers", strophe 4)
Belle Philis entre nous deux / L’Amour a partagé ses feux
Bouteille fraîche et belle / Que vous avez d’appas
Ce n’est qu’un esclavage / De servir une beauté
Ces oiseaux vivent sans contrainte (La Grotte de Versailles)
Chantez dans ces lieux sauvages (La Grotte de Versailles)
Chantez petits Oiseaux dans la Saison nouvelle
Contre le souci / Déclarons la guerre
D’un ton languissant, et tendre
Dans ces charmantes retraites (La Grotte de Versailles)
Dans ces déserts paisibles (La Grotte de Versailles)
Dans nos Bois / Silvandre s’écrie
Depuis que l’on soupire / Sous l’amoureux Empire (La Grotte de Versailles)
Déserts, retraite du silence (La Généreuse ingratitude)
Dieux des Enfers / Hélas ! voyez mes peines (Ballet Royal de la Naissance de Vénus, une strophe)
Goûtons bien les plaisirs bergère (La Grotte de Versailles)
[Ha : voir "Ah"]
Hélas ! que faut-il que j’espère
Il faut aimer / C’est un destin inévitable (La Comédie sans comédie)
J’ay fait serment cruelle / De suivre une autre loi
Je me suis mécompté / Quand je me suis flatté
Je sais qu'il est doux d'être dans votre estime ("Rochers vous êtes sourds", strophe 3)
Je veux guérir, s’il est possible
Jours bienheureux, où je voyais Climène
La belle Iris me fait aimer ses chaînes
La nuit, qui verse à pleines mains (La Comédie sans comédie)
La plus belle jeunesse / Sans l’amour n’est rien (Ballet des Muses)
Le soin de goûter la vie / Est ici notre emploi (Ballet des Muses)
Mes yeux, que vos plaisirs coûtent cher à mon cœur
N’attendez pas qu’ici je me vante moi-même (Ballet des Muses)
Non vous ne m’aimez pas Climène
On a beau former l’envie / De n’être plus votre amant
Pardonnez belle inhumaine / Si j’ai juré tant de fois
Plaisirs voici le temps qui vous est destiné
Pour me charmer vous n’êtes que trop belle
Pourquoi vous offenser de mon amour extrême
Quand au fort de mes amours / Je demande du secours
Quand on sait plaire (Le Carnaval)
Quand vous brillez sur la terre et sur l’onde (La Comédie sans comédie)
Que ce Dieu mérite qu’on l’aime (Le Triomphe de Bacchus dans les Indes)
Que dans cet heureux séjour / Les fleurs sont belles
Que faites-vous sans amour à votre âge
Que vous connaissez peu trop aimable Climène
Quel moyen / Si l’on n’espère / D’aimer pour rien
Qui te rend depuis peu la couleur si mauvaise
Rien n’est plus redoutable / Que vos doux appas
Rochers vous êtes sourds, vous n’avez rien de tendre (Ballet Royal de la Naissance de Vénus, une strophe)
Ruisseaux, & vous legers Zephirs
Si quelquefois / Suivant nos douces lois (Psyché)
Si votre cœur se laissait prendre
Sœur du Soleil, éclatante courrière (La Comédie sans comédie)
Soyez fidèle / Le soin d’un amant / Près d’une belle (Le Carnaval)
Tandis que nuit et jour mon cœur tendre et fidèle
Trop indiscret Amour, devoir trop rigoureux (Ballet des Muses)
Vivons heureux, aimons nous / Bergère (Ballet des Muses)
Voulez-vous des douceurs parfaites (Psyché)
Vous avez des appas plus qu’il n’en faut pour plaire
Vous savez l’amour extrême (Ballet des Muses)