Dédicaces et Vers de circonstance
Ode à Conty (à la suite de la dédicace de La Généreuse ingratitude) (1656)
Ode au duc de Guise (à la suite de la dédicace des Coups de l'Amour et de la Fortune
Épigramme, « Qui fut jamais si glorieux » (1657)
Pour l'Infante Marie-Thérèse, « L'esclat de sa naissance » (1659)
Que ce monarque auguste, madrigal (1671)
Au Roy, sonnet, « Grand Roy, vos ennemis ne trouvent point d'asile » (1672)
Relation nouvelle du Parnasse, à M. Perrault (1674)
Au Roy, sur la naissance de Monseigneur le Duc de Bourgogne, « Grand Roy, que mille Exploits fameux » (1682)
Au Roy, sur son voyage de Compiegne, « Grand Roy que dans les coeurs de nos voisins jaloux » (1683)
Sur la parfaite guerison du Roy, « Nostre Roy, des Rois le modele » (1687)
Sur la convalescence du Roy, « Quel démon, ennemy de cet heureux Empire » (1687)
Épitaphe pour la reine Marie-Thérèse (1683)
Autres vers
Cinq questions d’amour, proposées par Mme de Brégy, avec la réponse en vers par M. Quinault (1666)
« Poème de Sceaux » (« J’étois dans les jardins de l’aimable demeure ») (1677)
« L’opéra difficile » (« Ce n’est pas l’opéra que je fais pour le roi »), madrigal (1683)
Portrait gravé de Charles Le Brun (1684)
« Poème sur l’hérésie » (« Je n’ai que trop chanté les jeux et les amours ») (1686 ?)