Airs

Une soixantaine d'airs est attribuée à Quinault dans les recueils de 1658 à 1680. Ils proviennent en partie de ses oeuvres théâtrales, de La Comédie sans comédie jusqu'à Psyché. Toutes les attributions ne sont pas définitives.

Pour les identifier, je me suis appuyé sur les travaux remarquables de Laurent Guillo et d'Anne-Madeleine Goulet, que je tiens à remercier de leur aide précieuse et généreuse. Les sigles "RVC"  renvoient au dépouillement de L. Guillo, les "LADDA" au catalogue d'A.-M. Goulet.

Je ne donne qu'un choix de sources musicales, étant donné le grand nombre d'éditions imprimées, gravées et manuscrites, surtout pour la musique de Lully.

En revanche, j'ai essayé de citer toutes les sources littéraires imprimées du vivant de Quinault. Quand il y a plusieurs sources littéraires, je donne le texte de la première source dans la liste.

 "Dieu des Enfers" (Récit d'Orphéé)

Nouveau recueil des plus beaux airs de cour […] Première partie, Paris, Estienne Loyson et Robert Ballard, 1666, [RVC-05/ 108]