N.B. Certaines de ces attributions sont difficiles à vérfiier, et dans plusieurs cas un air est donné sous le nom de plus d'un compositeur. Pour plus d'informations, cliquer sur l'incipit de l'air.
Bertrand de Bacilly (1625-1690)
Contre le souci / Déclarons la guerre
Faut-il que vos divins appas
Je me suis mécompté / Quand je me suis
flatté
L’amour fait aimer ses coups
La bouteille / Me réveille
On a beau former l’envie / De n’être plus
votre amant
Qui te rend depuis peu la couleur si
mauvaise
Si votre cœur se laissait prendre
Un amant sans cesse soupire
Toussaint Bertin de la Doué (1680-ca 1743)
Pourquoi vous offenser de mon amour
extrême
Jean-Benjamin de La Borde (1734-1794)
Pourquoi vous offenser de mon amour
extrême
Antoine Carré, sieur de La Grange (16??-16??)
Que faites-vous sans amour à votre âge
Michel Lambert (1610-1696)
Belle Philis entre nous deux / L’Amour a
partagé ses feux
Chantez petits Oiseaux dans la Saison
nouvelle
Déserts, retraite du silence (La Généreuse ingratitude)
Hélas ! que faut-il que j’espère
Il faut aimer / C’est un destin inévitable (La Comédie sans comédie)
Je sais qu’il est bien doux d’être dans votre estime ("Rochers vous êtes sourds", strophe 3)
Mes yeux, que vos plaisirs coûtent cher à
mon cœur
Non vous ne m’aimez pas Climène
Que vous connaissez peu trop aimable
Climène
Plaisirs voici le temps qui vous est
destiné
Rochers vous êtes sourds, vous n’avez rien
de tendre
Ruisseaux, & vous legers Zephirs
Tandis que nuit et jour mon cœur tendre et
fidèle
Vous avez des appas plus qu’il n’en faut
pour plaire
Pourquoi vous offenser de mon amour
extrême
Sébastien Le Camus (ca 1610-1677)
Ah ! que vous êtes heureux / Petits
oiseaux amoureux
D’un ton languissant, et tendre
Je veux guérir, s’il est possible
Jours bienheureux, où je voyais Climène
Quand au fort de mes amours / Je demande
du secours
Jean-Baptiste Lully (1632-1687)
Admirons
le jus de la treille (Psyché)
Ah ! qu’en aimant / À de maux on s’expose (Ballet des Muses)
Ah !
qu’il est doux de se rendre / A l’empire de l’Amour !
Aimez cherchez à plaire / Vous ne sauriez
mieux faire (Le
Carnaval)
Amour trop indiscret, devoir trop
rigoureux (Ballet des
Muses)
Bacchus veut qu’on boive à longs traits (Psyché)
Ce n’est qu’un esclavage / De servir une
beauté
Ces oiseaux vivent sans contrainte (La Grotte de Versailles)
Chantez dans ces lieux sauvages (La Grotte de Versailles)
Dans ces charmantes retraites (La Grotte de Versailles)
Dans ces déserts paisibles (La Grotte de Versailles)
Dans nos Bois / Silvandre s’écrie
Depuis que l’on soupire / Sous l’amoureux
Empire (La Grotte de
Versailles)
Dieux des Enfers / Hélas ! voyez mes
peines (une strophe)
Goûtons bien les plaisirs bergère (La Grotte de Versailles)
J’ay fait serment cruelle / De suivre une
autre loi
Je sais qu’il est bien doux d’être dans votre estime ("Rochers vous êtes sourds", strophe 3)
La belle Iris me fait aimer ses chaînes
La plus belle jeunesse / Sans l’amour
n’est rien (Ballet des
Muses)
Le soin de goûter la vie / Est ici notre
emploi (Ballet des Muses)
N’attendez pas qu’ici je me vante moi-même (Ballet des Muses)
Pardonnez belle inhumaine / Si j’ai juré
tant de fois
Quand on sait plaire (Le Carnaval)
Que ce Dieu mérite qu’on l’aime (Le Triomphe de Bacchus dans les Indes)
Que vous connaissez peu trop aimable
Climène
Quel moyen / Si l’on n’espère / D’aimer
pour rien
Rien n’est plus redoutable / Que vos doux
appas
Rochers vous êtes sourds, vous n’avez rien
de tendre (Ballet Royal de la Naissance de Vénus)
Si
quelquefois / Suivant nos douces lois (Psyché)
Soyez
fidèle / Le soin d’un amant / Près d’une belle (Le Carnaval)
Trop indiscret Amour, devoir trop
rigoureux (Ballet des
Muses)
Vivons heureux, aimons nous / Bergère (Ballet des Muses)
Voulez-vous
des douceurs parfaites (Psyché)
Vous savez l’amour extrême (Ballet des Muses)
Charles Mouton (1626-1699)
Je me suis mécompté / Quand je me suis
flatté
Pour me charmer vous n’êtes que trop belle
Philibert Rebillé, dit Philbert (1639-ca 1717)
Ah ! pour te plaire, / Trop volage
Bergère
Joseph-Nicolas-Pancrace Royer (ca 1705-1755)
Ah !
qu’il est doux de se rendre / A l’empire de l’Amour !
Anonyme
Amour, détache ton bandeau (Les Coups de l'Amour et de la Fortune)
Bouteille fraîche et belle / Que vous avez
d’appas
Déserts, retraite du silence (La Généreuse ingratitude)
Enfin la charmante Lisette
La nuit, qui verse à pleines mains (La Comédie sans comédie)
Quand vous brillez sur la terre et sur
l’onde (La Comédie
sans comédie)
Que dans cet heureux séjour / Les fleurs
sont belles
Si votre cœur se laissait prendre
Sœur du Soleil, éclatante courrière (La Comédie sans comédie)